BLOG-NOT DE CATHERINE DUTIGNY : MON COUP DE COEUR LITTÉRAIRE DU MOIS… ET UNE OCCASION EN OR DEFAIRE REVIVRE MON PROPRE BLOG:-)

Depuis la publication de mon dernier billet en juillet 2014, cela fait donc à nouveau près de deux ans que cet espace a fait les frais des innombrables péripéties de mon quotidien, de la longue et douloureuse maladie, puis du décès de mon père, au deuil qui s’en est suivi, d’une terrible déception amoureuse aux incertitudes d’un avenir où je ne manquerai pas d’être confronté à des responsabilités tellement plus immenses qu’elles ne l’ont été par le passé. Deux ans, aussi, que je n’en brûlais pas moins d’envie de vous dire au fil des présentes pages tout le bien que je pense que ma fidèle amie et inspiratrice de plume Catherine Dutigny, également connue sous le doux nom d’Elsa Saint Hilaire, comme j’ai déjà coutume de le faire sur les principaux réseaux sociaux depuis-lors…

Et voilà que son tout nouveau roman « Blog-not », disponible dès à présent auprès de son éditeur, sur Amazon ou chez votre libraire habituel, tombe à pic en pleine période des ponts de mai pour m’inciter à échafauder des liens entre mon destin et celui de l’un de ses héros, à trouver dans une si palpitante intrigue la force et l’inspiration qui puissent me porter vers des rivages plus ensoleillés à l’avenir… !

Alors, qui est, au juste, cette fameuse Catherine / Elsa ?

Dans la vie, elle est diplômée de Sciences Po, riche d’un parcours professionnel passionnant et diversifié, rédactrice et membre du comité de lecture à La Cause Littéraire, écrivaine se plaisant à aborder le plus naturellement du monde un large éventail de genres et de styles, du conte pour enfants au roman policier, avec un fort agréable penchant pour l’humour et les personnages en marge des conventions de tous ordres, entre autres cordes à son arc…

Dans mon coeur, depuis ce jour de la fin 2013 où j’ai eu la chance de la lire pour la première fois, elle est devenue, tout d’abord, cette intéressante et intelligente correspondante avec qui j’ai toujours aimé me livrer à des discussions argumentées sur l’actualité, l’art ou la musique, en plus de commenter ses derniers écrits, puis, avec le temps, une confidente et amie qui a eu la gentillesse de m’offrir l’un des plus beaux témoignages d’estime, de reconnaissance et d’affection qu’on puisse recevoir d’une femme / fan de lettres de son haut rang : à savoir qu’elle m’a permis d’accompagner la mise en ligne progressive des 50 premiers chapitres de son roman-feuilleton Carnets secrets, », l’histoire d’un chat parlant le langage des Humains, participant activement à démêler les fils de leurs destins entrecroisés,  via une page Facebook dédiée dont je rédige les différents statuts et assure l’administration. Soucieuse de rendre ses écrits accessibles à des publics aussi variés que possible, de s’adapter au mieux à toute la palette des habitudes de lecture, elle n’a cessé d’apporter une contribution décisive au blog de mon amie Tippi Rod où cohabitent en parfaite harmonie les versions électroniques et les enregistrements audio d’un impressionnant choix de textes, pour le plus grand bonheur de ceux qui éprouvent des difficultés / sont dans l’impossibilité de lire des ouvrages imprimés sur papier puisqu’il n’est pas donné à tout le monde de maîtriser l’outil informatique au point de s’acharner à scanner un livre de 200 pages via son logiciel d’OCR avant de pouvoir en exploiter le contenu dans des conditions à peu près décentes.

Plus récemment, j’ai aussi pu lire et chroniquer son fabuleux « Calendrier de l’Avent », un bel et émouvant ouvrage initialement paru en novembre 2008 par lequel elle rend toutes ses lettres de noblesse à la portée universelle de ce que devrait être et rester l’esprit de Noël.

« Un titre qui n’est ni français ni anglais et qui sert d’illustration au livre. Mais que m’est-il encore passé par la tête? », s’interroge-t-elle en tête de gondole de la page consacrée à son dernier-né, plus de deux siècles après le règne de Napoléon Ier à qui d’aucuns ont tout de même prêté l’intention de faire creuser un tunnel sous la Manche en vue de sceller une alliance franco-anglaise définitivement à notre avantage;-)…

Quelques indices prometteurs en quatrième de couverture, mis en musique et en images par la talentueuse Naïade :

Rien ne laissait présager une telle issue.

Le corps d’une jeune fille découvert dans la Seine par un vieux marinier, quelques vêtements et un mot trouvés sur la berge : le suicide d’une adolescente ne semble faire aucun doute. Par acquit de conscience, le commissaire Guedj, conseillé par une graphologue, analyse les maigres indices afin de ne rater aucune éventualité. Puis apparait un deuxième papier issu des affaires de la noyée. Cet extrait de Lithium va bouleverser l’enquête.

Il y a d’abord Alex, l’agaçant petit ami de Clarisse, la fille de l’experte, qui rêve de devenir journaliste. Et puis cette maison de retraite où une infirmière se consume d’amour pour un étrange collègue. Ou encore ce blog, qui attire comme un aimant des jeunes internautes en mal de vivre. Une seule certitude, certains vont amèrement regretter de jouer au détective.

Pour avoir enfin eu tout loisir de lire, oh non, que dis-je, de dévorer goulument ce livre dans son intégralité, de réaliser en quoi les paroles des morceaux de Nirvana ne représentent qu’une très pâle réplique contemporaine des Fleurs du mal de Baudelaire, bien que tous deux produisent parfois des effets identiques sur des personnes en souffrance psychique, c’est une réponse infiniment plus personnelle qui s’impose à cette question : de fort belles choses, ma foi:-)

S’il est vrai que Catherine Dutigny n’est pas encore aussi célèbre qu’elle ne le mériterais au titre de ses propres mots, reste qu’elle a mis toutes les chances de son côté pour gravir quelques marches de plus vers la consécration, que ce soit grâce à cette intrigue chargée de suspense jusqu’au point final, , à son style d’écriture, fluide, entraînant et parsemé de jolies formulations, au grand soin qu’elle a manifestement pris à se documenter, de manière à ce que tout paraisse aussi crédible que possible, à tous ces protagonistes dont elle dépeint les traits de caractère avec tant de finesse d’esprit et de souci du détail qu’on en ressent spontanément l’envie de s’intéresser à leur psychologie avant de les juger ou de les ranger précipitamment dans les tiroirs de nos idées préconçues, en dépit de leur part d’irrationnel / d’imprévisible et d’un hasard qui tire à merveille les ficelles de l’histoire pour laisser planer une indispensable part d’ombre échappant à notre curiosité. De surcroît, les âmes très sensibles peuvent être rassurées quant au fait que tout se termine bien mieux qu’on n’osait l’espérer, sur des notes d’allégresse et de confiance en l’avenir qui dépassent de très loin le schéma par trop classique de l’opposition entre bons et méchants…

Et puis, il y a deux terrains sur lesquels on suppose aisément quelques incursions autobiographiques. D’une part, bien sûr, dans la description de la graphologue à qui vient l’idée de réitérer l’exploit d’écrire un roman sur la base du fait divers dans lequel elle se trouve chaque jour un peu plus impliquée, tantôt à son insu, tantôt de son plein gré. De l’autre, ce qui me fascine et me remplit d’une franche admiration depuis ma première lecture de son texte « Dissonances et synthonies », sur Ipagination à l’époque, à savoir sa parfaite connaissance de l’univers des musiques métalliques, qu’elles soient heavy, death, hard, grundge ou que sais-je d’autre. Quelle belle manière, pour elle qui a seulement trois printemps de moins que ma mère à son actif dans la vraie vie, de prouver qu’il n’y a pas d’âge pour rester jeune, alerte et ouvert d’esprit, tout comme il n’y a pas non plus d’âge pour vieillir prématurément à force de n’apprécier la musique que comme une drogue à consommer aux côtés des autres au lieu d’y chercher prioritairement inspiration et extase artistique !

Émotif par nature, je me suis beaucoup attaché au père Mathieu, le marinier vieillissant qui vit reclus sur sa péniche à Conflans-Sainte-Honorine, à la santé toujours plus chancelante depuis le décès de son épouse, un homme si charmant, perspicace et persuasif qu’on n’a envie de lui en vouloir ni pour son caractère peu engageant au départ, ni pour sa fâcheuse tendance à pratiquer sciemment de la rétention de pièces à conviction, qu’on lui en devient même reconnaissant au fil des chapitres dans la mesure où c’est précisément l’évolution maîtrisée de son attitude, de la méfiance à la joie d’être en si bonne compagnie, qui donne un tour encore beaucoup plus croustillant à l’intrigue, que même Delage, l’adjoint de Guedj, pourtant si pressé d’arriver à ses fins d’ordinaire, accepte de bonne grâce de s’exercer à l’art de la patience parce qu’il comprend bien vite qu’il vaut tellement mieux entrer dans son jeu pour s’assurer de sa collaboration que d’appliquer les consignes de service à la lettre, jusqu’à trouver refuge chez lui à un moment où il ne voit pas à qui d’autre il pourrait confier toutes ses angoisses…

Et sans vouloir souffler la fin de l’histoire à qui n’y serait pas encore arrivé, je n’ai pas pu m’empêcher de verser quelques larmes d’émotion au moment où il annonce qu’il se donnera les moyens de réaliser son voeu le plus cher, celui de transmettre aux générations futures un savoir qu’il s’était déjà résigné à imaginer à jamais perdu après sa mort. D’une part, c’est le plus beau cadeau que l’auteur ait pu lui faire, et qui sait, peut-être qu’à l’idée de savoir que sa vie n’a pas été vaine, qu’il est encore parfaitement apte à séduire les femmes, il se portera mieux que jamais ! Et de l’autre, quelle plus belle réponse que celle d’arriver à redonner un sens nouveau à sa vie grâce au potentiel de la toile pendant que certains, à commencer par Frédéric, le blogger au génie maléfique agrémenté de pulsions quasi-bestiales, se servent de ces mêmes outils pour exploiter les failles psychologiques d’adolescentes en mal de repères jusqu’à les persuader qu’elles auraient déjà perdu le combat contre l’insignifiance et la laideur, et n’auraient donc plus qu’à en finir au plus vite. Le tout, sans avoir besoin de verser dans le militantisme, juste parce que le cours des choses en incite certainement plus d’un(e) à parvenir à des conclusions similaires !

EN RÉSUMÉ ET EN CONCLUSION : LISEZ-LE, CE BEAU ROMAN:-)

»Blog-not » de Catherine Dutigny ;
212 pages, 16,00€ ;
Paru aux éditions RROYZZ le 27 avril 2016)
ISBN-10: 2363720520
ISBN-13: 978-2363720528
disponible auprès de son éditeur, sur Amazon ou chez votre libraire habituel

TWITTER 2.0 : SUR LES AUTOROUTES DE L’INFORMATION ET LES DÉCOMBRES DU COMPTE KNACKSLASH, LE CHANTIER À JAMAIS INACHEVÉ DE LA « VOIE DE SON MAÎTRE »…

Article actualisé le 29/03/2014 dans le cadre de la refonte de mes profils sociaux, publié à l’origine sous un titre bien plus euphorique, en écho à ma ferme conviction que cette migration-là serait la bonne, que j’aurai la force mentale de ne plus jamais reproduire les erreurs du passé… Or, comme vous le découvrirez plus en détail dans un prochain billet, la voie de son maître me conduit désormais vers la « Siliknoll Valley » des tweets, d’où le paragraphe en texte barré, dont les liens de référence sont désormais majoritairement obsolètes, et je réalise qu’au bitume de l’autoroute, je préférerai à jamais les rails de chemin de fer, d’où le nouveau nom du présent blog, en hommage au Trans-Europ-Express et au titre éponyme de Kraftwerk, ce groupe qui fut manifestement l’un des premiers à avoir su faire parler les machines une quarantaine d’années avant que mes amies ElisaH et TippiRod ne donnent le meilleur d’elles-mêmes pour léguer leur voix à la postérité.

Pour illustrer en musique ce deuxième volet de ma trilogie twittérienne, suite chronologique à son prologue et sa première partie, voici un autre Kraftwerk de circonstance, à envoyer « à fond la caisse » pour les 23 minutes à venir, sur les enceintes de votre autoradio, bien sûr;-):-)


Un petit souci pour lire la vidéo d’ici à ce que j’implémente intégralement les balises HTML 5 / ARIA requises, ou juste une petite envie de récupérer la bande son via votre ripper préféré ? Alors, cliquez ici, et tout devrait s’arranger à souhait;-):-)

Chères lectrices, chers lecteurs, que vous veniez de Twitter ou d’ailleurs,

En ce beau Dimanche de Pâques, où Chrétiens et Juifs s’accordent à fêter le triomphe de la vie sur la mort et l’espoirs d’un renouveau, aussi bien dans la Nature qu’en notre for intérieur, permettez-moi, en complément à mes meilleurs voeux de bonheur, de bonne santé, de prospérité et d’épanouissement, de vous annoncer que

LE 30 JUIN PROCHAIN, JE FERMERAI DÉFINITIVEMENT MON COMPTE TWITTER @KNACKSLASH, AU PROFIT DE MON NOUVEAU PROJET D’AMATEUR DE MOTS ET DE MUSIQUE, « LA VOIE DE SON MAÎTRE », matérialisé notamment par un nouveau profil Twitter, mon compte Facebook, mon blog Tumblr et ma page d’auteur sur le site du Jeu des Six Mots, afin de vous livrer, au fil de mes envies et de mes préoccupations du moment, des analyses ou des sélections de liens volontairement plus ciblées et abouties que ce qu’il m’a été donné de vous faire partager jusqu’à présent sur Twitter, sous le coup de l’instantanéité et de l’absence de recul inhérentes à ce média-là.

De quoi me redonner enfin, par ailleurs, non seulement le temps et les moyens intellectuels de réfléchir à la marche du monde sur le présent blog, en déshérence depuis bien trop longtemps pour mériter d’avoir encore des lecteurs abonnés à ses mises à jour, sans être constamment bousculé par les lois de l’immédiateté et de la superficialité, mais aussi, et je dirais surtout, le temps de reprendre toute ma place dans le vrai monde pour ne pas m’y retrouver totalement marginalisé et isolé à force d’avoir pris le virtuel comme la seule réalité qui puisse répondre à mes aspirations profondes !!!

 

Non : ceci n’est ni un poisson d’avril désespérément tardif, ni un avant-projet de cadeau pour le 38e anniversaire de mon ami d’enfance Kira Neris, prévu ce jour-là, mais simplement le fruit d’une lassitude grandissante à l’idée de passer des soirées entières à m’adonner à la vaine illusion de pouvoir infléchir le destin de l’Humanité en quelques clics, à la perspective de construire, avec certains de mes abonnés, des liens que la distance rend encore infiniment plus complexes et aléatoires que dans la vraie vie ; sans même que celle-ci ne profite vraiment de mon colossal investissement ! Concrètement, après une prometteuse phase d’expansion et d’épanouissement humain, grosso modo au premier semestre 2011, marquée par des rencontres inoubliables avec des personnes telles que ma très chère et fidèle amie Céline, Ceinwynn, notre Heidi des alpages aux talents si multiples, Denise Girard, acrobate des mots et des images, qui résiste aux aléas de la vie comme le fer à un simple feu de cheminée ou Madeleine Bleue, l’accélération des événements et l’aggravation substantielle des conflits et autres injustices dans le monde m’ont amené à m’engager bien plus radicalement que prévu sur la voie de ce que d’aucuns qualifieraient de web-journalisme ou web-militantisme, jusqu’à être tellement submergé, happé par le souffle de l’info en continu qu’avant même d’avoir eu le sentiment de contribuer un minimum à améliorer le sort de qui que ce soit par l’entremise de la toile mondiale et/ou de mes commentaires sur toutes sortes de faits d’actualité, moi, qui étais venu chercher dans l’univers des gazouilleurs de quoi partager et construire un monde d’amour, de confiance et d’espoir, dans le prolongement des rêves véhiculés par les Printemps Arabes et le mouvement des Indigné(e)s, je me suis trouvé, plus d’une fois, embarqué dans des dynamiques de haine, de confrontation, de colère et d’incompréhension ; sans compter les innombrables cauchemars ou nuits blanches que m’ont procuré à la fois les vidéos ou autres témoignages de la violence en Syrie et l’absence de toute perspective raisonnable d’un règlement pacifique à court terme par là-bas, a fortiori dans le contexte d’une région aux allures de poudrière où Israël et l’Iran auraient, à eux seuls, assez d’armes pour précipiter l’Humanité dans une 3e Guerre Mondiale, et où le dilemme entre la non-intervention de la Communauté Internationale au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et la constitution de groupes armés se donnant pour mission de faire chuter le régime du président Bachar Al Assad avec l’aide croissante de la Turquie, du Qatar et de l’Arabie Saoudite risque de devenir, très bientôt, synonyme d’une « afghanisation » profitant avant tout à des régimes pas franchement réputés pour leur attachement à la démocratie et au respect des Droits Humains !

 

Souvent, c’est aussi par amitié pour des personnes dont je me sentais particulièrement proche que je me suis impliqué dans des combats ou des régions du monde finalement bien éloignés de mes préoccupations quotidiennes ; rien de plus logique dans un esprit de partage, d’échange de connaissances ou de points de vue et de solidarité entre êtres humains susceptibles de s’enrichir de leurs différences ou de leurs souffrances respectives !!! Or, entre les personnes tellement enfermées dans leurs schémas mentaux que rien de ce qui leur est extérieur ne semble plus les affecter, les égocentriques, si avides de scoops ou d’infos à fort potentiel de diffusion qu’ils sont disposés à retweeter, si ce n’est piller ou plagier n’importe qui / quoi pour cultiver leur notoriété aux dépens des autres, les opportunistes chroniques qui ne me retweetent que lorsque j’ai la chance de croiser leur chemin au bon moment, c’est-à-dire lorsque je poste, quelques minutes après les avoir retweetés ou mentionnés, des contenus particulièrement susceptibles de leur plaire, mais qui auraient pu, tout aussi bien, m’ignorer pendant toute une soirée ou relayer un point de vue contraire au mien sans jamais se donner la peine de faire part de leur propre avis (sans doute parce qu’ils ne daignent même pas avoir d’opinion personnelle, un tantinet réfléchie), etc…, j’ai aussi eu, bien souvent, le malheur de devoir affronter les travers du genre humain dans mes relations plus personnelles avec certains de mes abonnés, avec, en prime, le fait d’avoir passé des heures à me servir de plus en plus péniblement du zoom d’écran de Mac OS X ou me faire lire du texte au moyen de VoiceOver, par une voix de machine au timbre encore bien trop robotique pour paraître humain à la longue, d’avoir dévoré jusqu’à 80 articles de bout en bout en une soirée pour m’assurer de leur qualité avant de les relayer là où d’autres ne se basaient que sur les gros titres pour remplir leur quota de tweets en quelques clins d’oeil… ! Dommage pour celles et ceux qui ont fait ou continuent à faire preuve de respect et de professionnalisme dans leur ouvrage, car, au vu du peu d’échos que trouvent parfois leurs écrits ou leurs liens par rapport à ceux de personnes qui se situent délibérément dans une optique promotionnelle=quasi-commerciale, leurs travaux sont parfois si mal récompensés que moi-même, je peine à les relever dans la masse / qu’ils ont déjà claqué la porte de Twitter longtemps avant moi, à l’instar de la regrettée Aube Walter, par exemple… !
De plus en plus polluée par une logique à peine moins capitaliste et oppressante que la télévision ou les médias traditionnels, à qui elle a d’ailleurs tendance à servir d’auxiliaire publicitaire plus ou moins bienveillant en assurant une large diffusion à leurs contenus (cf. les live-tweets des débats politiques), la twittosphère informationnelle devient une jungle où règnent les lois du plus fort, de la compétition, du buzz, de la critique systématique et du moins-disant intellectuel (pour ne pas dire la quasi absence de recul et de réflexion chez certains) ; et avant d’enterrer pour de bon toute envie de penser, de créer et d’écrire par moi-même, avant de perdre ma foi dans les mérites des réseaux sociaux, en général, avant de sacrifier complètement ma véritable identité et ma propre liberté d’expression à une nébuleuse de préoccupations ou d’intérêts qui finiraient par les desservir, si je n’y prenais pas garde, il est grand-temps que je me livre, ici et ailleurs, à une réaction de fond, proportionnelle en tous points à l’immensité des défis et aux évidents signes du destin !!!

 

 

Alors que les présidentielles françaises s’approchent à si grands pas que l’heure devrait être venue, pour chacun(e) d’entre nous, de s’interroger sur ce qu’ils/elle fera dès que l’incertitude et le vacarme de la campagne auront laissé place à la certitude d’un résultat, quel qu’il soit, j’envisage, pour l’essentiel, deux options :

  1. Soit la France, poussée au bord de l’implosion socioéconomique par 5 ans de national-sarkozisme et des décennies de mondialisation néolibérale rampante, se trouve effectivement à l’aube d’une nouvelle page de son Histoire, comme le suggère Jean-Luc Mélenchon (et François Hollande, dans une moindre mesure), auquel cas ma place n’est certainement pas exclusivement devant un ordinateur, mais beaucoup plus intensément sur le terrain, au contact des acteurs de la révolution populaire à venir ;
  2. Soit ce pays décide de reconduire Nicolas Sarkozy dans ses fonctions=d’accélérer son déclin et son délitement, ou de ne pas donner aux forces de progrès une majorité suffisante pour imprégner le quinquennat à venir de réformes qui soient à la mesure de nos défis, de faire primer le masochisme et les intérêts individuels sur notre destinée collective, auquel cas il me faudra bien assurer mes arrières, comme tout le monde, avant que nous ne prenions irrémédiablement le même chemin que la Grèce, si ce n’est envisager de m’exiler dans des contrées plus clémentes pour y refaire ma vie, de sorte que mes écrits ou mes actions risquent alors de s’adresser à un public quelque-peu différent de ce qu’il est aujourd’hui… !

Bref : d’une sorte de machine cérébrale relayant inlassablement les malheurs du monde par simple acquit de conscience / sentiment de culpabilité envers les autres, produisant des idées à l’échelle industrielle dans le vain espoir de rester dans la course de vitesse de mise à jour des tweets, il faut absolument que je sache redevenir un créateur de conscience, d’idées et de beauté, heureux et fier de son oeuvre, infiniment plus désireux et capable qu’aujourd’hui de faire partager cette dernière aux âmes de bonne volonté, infiniment plus apte, aussi, à en vivre, ne serait-ce que moralement !!!

Peut-être me remettrai-je, un jour, à refaire de la politique à plein-temps sur Twitter, mais à ce compte-là, probablement sous un tout autre pseudo, sans aucun lien avec ma véritable identité ou ma production actuelle, histoire de ne devoir ni m’enfermer dans les contingences éditoriales passées, ni faire montre de la moindre obligation de réserve envers les autorités de ce pays, dont certaines ont déjà été tentées d’utiliser ma dépendance financière à leur égard pour me mettre hors d’état de leur nuire ! Plus jamais, je ne commettrai l’erreur de m’abonner à près de 800 personnes (au point de ne plus arriver à suivre aucune d’entre elles dans ce véritable esprit d’échange et d’enrichissement mutuel qui m’est pourtant si cher…)

À moins de faire mien le principe selon lequel, au grand dam de toutes les grandes âmes, réelles ou autoproclamées, le seul et unique objectif de la politique est d’arriver à exercer autant de pouvoir que possible sur les autres sans que ceux-ci ne réalisent combien je m’y prends à leurs dépens / , de pénétrer dans cette caste des heureux élus dont l’Histoire ne manquera pas de retenir les noms, juste pour le principe de me venger à tout prix de n’avoir que trop vécu dans la soumission et l’anonymat, auquel cas il me faudrait néanmoins cesser, pour de bon, d’avoir le moindre scrupule à m’approprier, voire perfectionner certaines techniques d’autopromotion et de manipulation mentale grossière à l’égard des masses populaires : afficher une assurance et une arrogance à toute épreuve pour m’attribuer toutes les qualités possibles et imaginables, me dire victime de quelques dizaines de complots et de procès en diffamation pour susciter la compassion et l’admiration des masses, appliquer à ma timeline le summum de la démagogie manichéenne afin de déifier mes amis ou admirateurs / de diaboliser aussi bien mes adversaires que les indifférents, présumés mécréants ou autrement médiocres, accuser d’emblée mes détracteurs de tout ce qui pourrait mettre en péril la légitime supériorité et l’invincibilité morale de mon discours, quitte à m’aventurer résolument dans le registre du surnaturel, du spirituel, voire du divin, pour transformer mes propos en pure parole d’évangile et faire dire à Dieu ni plus, ni moins que ce qui m’arrange, mais que les réalités bassement terrestres ont la fâcheuse habitude d’infirmer… Au lieu de n’obtenir, au mieux, qu’une dizaine de retweets par soir, de la part de mes 640 abonnés, peut-être me suffirait-il alors de m’abonner à 600 twittos sans même m’intéresser de trop près à leurs écrits pour être suivi de très près par 5000 personnes, dont certaines rivaliseraient de zèle et de fanatisme pour témoigner publiquement de leur assujettissement volontaire à la suprématie présumée de ma prose providentielle, de donner des leçons à tours de bras avant même que les autres n’envisagent d’avoir à en recevoir, d’être encore plus médiocre et ordurier que ceux dont je dénonce la médiocrité ou les propos outranciers… Mais, puisque le succès d’une telle démarche ne pourrait reposer que sur une stratégie du fait accompli, intrinsèquement incompatible avec tout effet d’annonce, sur un suprême détachement d’avec mes convictions, mon amour des autres et ma façon de vivre au quotidien, dans ce qu’il est convenu d’appeler « la vraie vie », vous n’aurez désormais plus aucun mal à imaginer que ce n’est pas moi qui vous en dirai plus en mon propre nom, pour autant que me vienne, un jour, l’idée de passer effectivement des présentes paroles de science-fiction aux actes d’un jeu de rôle, beaucoup plus limité dans le temps que ne l’a été mon compte @knackslash, jeu dont la seule finalité serait, en vérité, de sensibiliser nombre d’entre ceux qui ne liront probablement jamais ces lignes à leur propension à succomber aux sirènes de la facilité intellectuelle, du suivisme, du mépris ou de l’intolérance, d’autant que la mise en pratique de ce plan machiavélique m’obligerait, dans un évident souci d’intégrité morale, à me sentir suffisamment en paix avec les autres et moi-même dans le vrai monde pour ne surtout pas finir par prendre un malin plaisir à me servir des univers virtuels pour sombrer à mon tour dans la fascination du pouvoir et de l’emprise sur autrui dans le réel… !

En espérant sincèrement que vous serez nombreuses / nombreux, comblé(e)s de bonheur et de curiosité à l’idée d’emprunter avec moi la nouvelle voie de mes méninges, je vous remercie chaleureusement de votre fidèle et amicale présence à mes côtés, vous embrasse bien fort et vous dis « à très, très bientôt », que ce soit par ici, ailleurs sur la toile ou dans la vraie vie !!!

>Rien que du neuf en début d’année, à commencer par des voeux particulièrement tardifs

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Nouveau site web en préparation, nouveau design pour mon blog, nouveau widget pour garnir votre bureau…: le point sur tous ces « petits pas pour un Homme » qui ont rythmé les six premières semaines de 2009

Bien que la « nouvelle année » soit déjà sérieusement entamée en ce vendredi 13 février, veille d’une St-Valentin dont les préparatifs et la mise en œuvre semblent demander tant d’efforts que nombre d’entre nous entendent bien s’octroyer d’ores et déjà, après tout juste six semaines de dur labeur, une à deux semaines de récompenses sportivo-récréatives dans quelque haut lieu de la glisse, j’aimerai néanmoins profiter de ce premier message estampillé 2009 pour présenter, à toutes celles et tous ceux d’entre vous à qui je n’ai pas encore eu l’occasion de m’adresser personnellement, mes sincères et profonds vœux de bonheur, de paix, de bonne santé, de réussite, d’épanouissement et de confiance en un avenir certes peu engageant, obscurci notamment par l’une des pires crises économico-financières du siècle, mais néanmoins porteur d’un indicible espoir quant à une remise en cause salutaire d’un modèle néolibéral qui, à force de prêcher la primauté du capital sur l’être humain, a même fini par prendre au dépourvu des financiers aussi chevronnés que les banquiers d’affaires américains, qui pensaient pourtant en maîtriser tous les rouages dans la mesure où ils avaient grandement contribué à les concevoir!

Puisse donc cette ultime étape de la décennie vous apporter, entre autres, toutes les réserves d’énergie, de ténacité, d’intelligence, d’inspiration et de bonne volonté dont vous aurez besoin pour surmonter ce cap particulièrement périlleux et utiliser les vents contraires de la crise comme autant d’incitations à prendre un nouveau départ là où les circonstances l’exigent / lutter avec acharnement afin de préserver et d’apprécier encore longtemps tout ce qui mérite votre estime, et puissent mes vœux, pour tardifs qu’ils soient, revêtir une saveur toute particulière! Après tout, ne dit-on pas que ce sont souvent les vendanges tardives qui produisent les meilleurs nectars?

Cela étant, puisque cet an de grâce 2009 comporte, comme dernier chiffre, un « 9 » symbole de nouveautés tous-azimuts du seul fait que nous utilisions couramment, voire quotidiennement l’expression « quoi de neuf », de ma calamiteuse entrée dans l’univers SFR après avoir fait évoluer mes deux abonnements Club-Internet vers la formule « Neufbox de SFR » et de l’extinction progressive de la télévision analogique au profit de divers modes de diffusion numériques (ADSL, câble, satellite, TNT), dont la généralisation contribuera probablement à faire entrer dans le quotidien du téléspectateur lambda, jusque dans les chaumières les plus reculées de l’Hexagone, des technologies aussi révolutionnaires que la haute définition et le format 16/9, je m’étais fait légion d’étendre cette logique à mon fidèle compagnon le blog dans le cadre d’une version totalement remaniée de son code-source pour vous faire bénéficier, parmi tant d’autres nouveautés et corrections de bugs mineurs, d’une mise en page de style « 16/9 » (ou « paysage ») exploitant 90% de la largeur de votre écran, histoire de fluidifier votre lecture avec une résolution de 1900 x 1200 pixels, la norme pour les écrans actuels, sans compromettre pour autant votre accès à l’information au cas où votre matériel ne supporterait que des résolutions largement inférieures. Mais de toute évidence, mes désirs de formatage et de personnalisation des contenus s’intègrent beaucoup plus difficilement que prévu dans un canevas stylistique reposant à la fois sur des codes HTML ou CSS de mon cru et des contraintes liées à l’utilisation de la plate-forme Blogger, de sorte qu’il me faut encore corriger au plus vite de graves problèmes de lenteur d’affichage, de mise en forme et de disposition des diverses rubriques pour éviter, par exemple, que le contenu du pied de page ne se retrouve coincé par erreur entre le corps du message et la barre latérale dans Safari et Opera pour Mac alors que seul Firefox et Internet Explorer pour Windows seraient à-peu-près capables de donner forme à mes desiderata originels.

Cependant, certaines améliorations sont d’ores et déjà fonctionnelles et n’attendent plus que vous pour déployer dans la pratique leurs fonctionnalités fabuleuses et novatrices, à savoir:

  1. une série de liens vers les principaux services de référencement social (ou « social bookmarking »), dont Facebook, Delicious, Digg et bien d’autres à venir très prochainement, afin que vous puissiez contribuer activement à la promotion du blog dans votre cercle d’amis ou sur le web tout entier;
  2. un widget (ou faudrait-il parler de « futilitaire » à fort potentiel addictif), à télécharger de toute urgence sur votre PC sous Windows Vista, votre Mac ou votre iPhone / Ipoh Touch, ou à intégrer à votre page d’accueil Netvibes, iGoogle, Windows Live, etc., afin que mes actualités personnelles puissent trôner en plein cœur de votre bureau ou de votre service préféré de « cloud computing » (stockage massif de données sur des serveurs distants dont tout le monde ignore la localisation exacte, d’où l’idée qu’ils puissent se trouver dans les nuages), sans même vous obliger à faire l’effort de les récupérer manuellement, et qu’à l’image des milliards de widgets d’ores et déjà en circulation, ma future omniprésence sur la toile universelle soit vécue, chaque jour un peu plus, comme une sorte d’invasion librement consentie, inquiétant prélude à une éventuelle « dictature du pronétariat » pour qui n’y prendrait pas garde dans la mesure où la multiplication exponentielle des flux de données à gérer simultanément nous mène subrepticement vers une saturation intellectuelle permanente dont nous avons tendance à nous échapper en privilégiant la gestion quantitative, garante d’efficacité, de rapidité et de simplicité quant à l’assimilation des informations, à toute approche qualitative épanouissante à long terme (mais que voulez-vous: il faut bien « exister sur le net » pour ne pas passer dès aujourd’hui aux oubliettes de l’Histoire);
  3. des raccourcis clavier ou « touches d’accès rapide » qui vous permettront par exemple de revenir à l’accueil du blog depuis n’importe laquelle de ses pages à l’aide de la combinaison Alt+h sous Internet Explorer (alt+majuscule+h sous Firefox et Contrôle+h avec Safari) ou de partager un article sur Facebook via la combinaison Alt+f (ou alt+majuscule+f pour Firefox, contrôle+F pour Safari), mon but ultime étant de créer une interface entièrement accessible au clavier sans désavantager pour autant les adeptes de la souris, un peu comme s’il s’agissait d’une application à part entière, à l’instar de nombreux logiciels de notoriété publique qui possèdent souvent des trésors de raccourcis clavier dont même les utilisateurs aguerris soupçonnent à peine l’existence à force de se fier prioritairement à leur mulot, et de démontrer ainsi qu’il suffirait parfois de quelques maigres aménagements pour rendre un site web à la fois accessible, ergonomique et interactif au lieu de le charger d’animations Flash et autres gadgets graphiques que même l’iPhone, archétype moderne du voyageur nomade par excellence, a parfois du mal à interpréter correctement.

C’est dans cette optique que je vous suggère donc de consulter mon code-source provisoire depuis votre navigateur web, juste au cas où vous souhaiteriez mettre vos talents de développeur au service d’une cause aussi futile que la concrétisation de mes ambitions, et de goûter temporairement aux premières fonctionnalités de la prochaine version 2.2, rassemblées en un corpus technologique numéroté, en toute bonne logique, 2.1.9…!!!

Par ailleurs, la page d’accueil toujours provisoire, bien que trop durable, de mon domaine www.knackslash.com a subi, elle aussi, un lifting annonciateur de quelques excellentes nouvelles puisque je commence à me familiariser avec les suites logicielles iLife et iWork ’09 pour Mac OS X, de quoi disposer en quelques clics de tout ce qu’il faut à un webmestre de ma trempe pour développer et gérer, à la seule force de ses poignets et de sa machine à la pomme, un site web encore microscopique dont la montée en gamme en terme de contenu ne saurait être que très progressive. C’est donc avec un mélange de satisfaction et de délectation constructive que je vous informe de ma décision d’inaugurer mes premières pages entièrement créées sur un Mac d’ici un mois, soit le vendredi 13 mars à 13:02, temps universel (une heure de plus à Paris, 5 de moins au Québec), et que je vous invite à jeter un œil attentif à l’avancement du chantier si le cœur vous en dit.

Au plaisir, donc, de renforcer ainsi nos échanges virtuels, et à bientôt pour davantage de news, quitte à ce que certaines d’entre elles transitent par le fameux « nuage n° 9 » dont Brian Adams nous chantait déjà les louanges dans un passé fort lointain, mais dont personne ne pouvait alors raisonnablement supposer que ses paroles s’appliqueraient un jour au monde de l’informatique interconnectée…!

>Re-bonjour à vous tous, et bienvnue sur le Calciumedia-Blog 2.X, Cross-Platform Binary!!!

>

Suite aux nombreuses doléances de mes compatriotes en mal de sources d’informations francophones à mon sujet, et après avoir attendu en vain une version stable de Dotclear 2.0, susceptible de répondre pleinement à mes attentes en terme de convivialité, de compatibilité avec mon hébergeur Web et de référencement optimal par les moteurs de recherche, je me suis enfin décidé à élargir mon offre de contenu au-delà du cadre quelque-peu restreint de mon Myspace, entièrement rédigé en anglais au demeurant, et à finir ainsi par rentabiliser, après plus d’un an, mon cher domaine Knackslash.com. Et grâce à ces choix à la fois ambitieux et porteurs d’avenir, voici donc venue la première étape de mon nouveau plan d’occupation de l’espace internautique, à savoir le présent blog du nom de Calciumedia.com, dans ses versions 2.0 et ultérieures.

Au fil des jours et au gré de mes humeurs, je m’efforcerai donc de vous livrer, ici même, toutes sortes de détails, d’informations ou d’opinions, des plus utiles aux plus futiles, sur des sujets aussi divers que les enjeux politiques, économiques, géostratégiques et technologiques de l' »après 11 septembre 2001″, les défis planétaires inhérents à la mondialisation néolibérale, aux excès du capitalisme financier, aux conséquences de la crise des subprimes, aux changements climatiques ou à la raréfaction de l’eau potable dans les « pays du Sud », le fonctionnement / la face cachée des institutions européennes, les moyens de lutter efficacement contre l’emprise grandissante des majors du disque, de l’informatique et des médias sur notre vie quotidienne, l’actualité des musiques électroniques (net labels, Youppala…), mes principales découvertes dans le monde de l’Internet, des logiciels et des produits high-tech, les performances du Racing Club de Strasbourg et de l’Olympique de Marseille en championnat de France de football / le parcours des clubs français dans les diverses coupes européennes, mes exploits sportifs personnels et autres mesures drastiques destinées à me faire atteindre mon poids idéal de 65 kg, mes nouvelles habitudes alimentaires ou mes voyages transcontinentaux, et je veillerai tout particulièrement à vous faire partager mon enthousiasme et ma fascination à l’idée d’avoir enfin migré d’un PC sous Windows XP à un iMac équipé de Mac OS X Leopard, la toute dernière version du système d’exploitation de chez Apple, grâce à des outils d’accès universel aussi puissants et révolutionnaires que Voiceover, le zoom système ou les voix de synthèse au timbre quasi-humain de chez Acapela Group, portées sous Macintosh par la société néerlandaise Assistiveware.

Cela étant, comme il est fort probable que vous continuiez à vous demander ce qu’il en est, au juste, de ces sobriquets de « Maître Knackslash » et « Calciumedia », voici d’ores et déjà une sorte de « réponse préventive », telle qu’on en trouve par milliers dans les FAQ de vos sites Web préférés:

  1. « Maître », parce que je suis titulaire d’une Maîtrise de Langues étrangères appliquées (LEA);
  2. « Knackslash »: une manière relativement élégante et originale de rendre hommage à mon surnom traditionnel, « Da Wurscht » (« la saucisse » en dialecte alsacien), tout en y intégrant un lien sémantique et conceptuel avec ma pratique de l’informatique dans la mesure où celle-ci consiste, en partie à aligner des signes cabalistiques aussi barbares et déshumanisants que des « slashs », des « back slash »… et, qui sait, peut-être bientôt des « knack slash »…;
  3. Et « Calciumedia », en l’honneur de ce mardi 1er avril 1986, où ma mère a failli mourir d’une crise d’angoisse et d’un manque de calcium en plein tunnel du Lötschberg (Suisse), notre train étant resté à l’arrêt pendant près de trois quarts d’heure à la suite d’une soudaine panne de locomotive. Puisse donc ce site éclairer de temps à autres, de par son contenu ou sa présentation, cette espèce de tunnel politico-idéologique dans lequel notre pays s’est engouffré depuis ce funeste dimanche 6 mai 2007, avec l’élection de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République!!!

Pour l’heure, je vous souhaite en tout cas un agréable séjour « calciumédiatique » sur les pages de ce blog, et j’espère vous retrouver très bientôt, en nombre sans cesse croissant, pour de nouvelles et fabuleuses cyber-aventures!!!